La Philharmonie de Paris présente une exposition sonore et visuelle dédiée aux musiques arabes, jusqu’au 16 août.
Revue de web
Des chants des qaynats au mix urbain du XXIe siècle (Lemonde.fr)
Entre l’installation de tambours suspendus au-dessus des têtes à l’entrée – œuvre du calligraphe tunisien Nja Mahdaoui – et « Monsieur Anis », assis sur son lit dans sa maison dévastée, en train d’écouter, pipe en main, un disque qui tourne sur son vieux pick-up sauvé du désastre par on ne sait quel miracle – image prise à Alep, en Syrie, par le photographe libanais Joseph Eid en 2017 –, nombre d’œuvres fortes ponctuent le parcours d’« Al Musiqa, voix et musiques du monde arabe », présenté par la Philharmonie de Paris.

Le parti pris de montrer qu’il existe dans les pays arabes une création contemporaine fortement connectée au patrimoine et à l’histoire semble évident. C’est un des points forts de cette exposition trilingue (français, arabe et anglais).
al musiqa, la ballade du monde arabe (Lemonde.fr)
[…] Le nouveau thème d’exposition proposé par la Philharmonie de Paris se démarque par l’étendue du sujet, sa complexité et les questions qu’il soulève. A commencer par celles sur la notion même de « monde arabe » ou des rapports entre islam et musique.
L’interview de Véronique Rieffel, commissaire de l’exposition al musiqa (RFI).
Le clip de l’exposition al musiqa à la Philarmonie de Paris.
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Thierry Lévy-Abégnoli
Très original comme concept, je passera y faire un tour en juin je pense…